Recevoir la newsletter

Ecole inclusive: " On ne vit pas de ce travail, on survit ", estiment les AESH (3/4)

Article réservé aux abonnés

Les AESH représentent le deuxième métier de l’Éducation nationale en termes d’effectifs, avec 137 300 professionnelles à la rentrée 2025.

Crédit photo Tim Douet
[ENQUETE] Mal payées, épuisées, souvent affectées à plusieurs établissements, les accompagnantes d’élèves en situation de handicap (1) dénoncent des conditions de travail indignes d’un métier pourtant au cœur du projet d’école inclusive.

Durant ses premières années en tant qu’accompagnatrice d’élèves en situation de handicap (AESH), Aurélie Lye a eu à sa charge un seul jeune « multi-dys », du CM1 au lycée, à Agen (Lot-et-Garonne). Dix ans plus tard, ses conditions de travail et la qualité de l’accompagnement qu’elle peut fournir n’ont plus rien à voir : avec trois élèves, « il faut jongler entre les emplois du temps pour être présente dans les matières les plus centrales ».

>>> A lire aussi : Handicap : des milliers d’enfants sans solution pour la rentrée 2025

Depuis la rentrée, elle passe ses matinées dans une école élémentaire pour épauler un enfant présentant un trouble déficit de l’attention ; puis elle file au collège l’après-midi, auprès de deux élèves de 4e souffrant de phobie scolaire, de crises d’angoisse et d’une

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Autonomie

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15