« Nous sommes là pour nous révolter, décortiquer les dysfonctionnements, pour nous dire comment améliorer nos pratiques et travailler ensemble les changements, pour que chacun puisse prendre des engagements et c’est une bonne nouvelle que nous soyons là », clament en chœur l’avocate Anne Bouillon et l’artiviste Diariata N’Diaye. Il est à peine 10 heures, vendredi 25 novembre, et le ton de ces premières Assises nationales de lutte contre les violences sexistes
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