Le nombre de victimes de traite et d’exploitation des êtres humains enregistrées par les services de police et de gendarmerie a augmenté de 26 % entre 2016 et 2021, passant de 1 439 à 1 811, comme le révèle une étude du ministère de l’Intérieur publiée le 18 octobre.
Pour la première fois, le Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI) et le Service statistique ministériel du ministère de la Justice (SDSE) ont publié conjointement, le 18 octobre, leur étude annuelle sur la traite et l'exploitation des êtres humains en France. Selon ce rapport, le nombre de victimes est en augmentation de 26 % entre 2016 et 2021, passant de 1 439 à 1 811.72 % des victimes sont des femmes
Dans le détail, les services de police et de gendarmerie ont enregistré 1 044 victimes de proxénétisme (contre…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?