Depuis le départ d'Adeline Hazan en juillet, il n’y a plus de contrôleur général des lieux de privation de liberté. Une vacance de pouvoir qui inquiète les acteurs du monde de la psychiatrie comme ceux des prisons.
Adeline Hazan a quitté son poste de contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) le 16 juillet dernier. Un départ programmé car le mandat à la tête de cette autorité administrative indépendante est de six ans. Or, depuis son départ, le poste est vacant. Une absence de pouvoir difficilement compréhensible, le rôle du CGLPL étant de veiller au respect des droits fondamentaux dans des lieux comme les prisons, les hôpitaux psychiatriques, les centres de rétention administrative, les hôpitaux pour mineurs, les locaux de rétention douanière ou encore les centres éducatifs fermés.Personne avant octobre
« Nous sommes inquiets, avoue François Bès, coordinateur du pôle “Enquêtes” à la section française…
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