Les associations représentatives des personnes âgées et handicapées ainsi que les fédérations des professionnels qui les accompagnent posent sept principes indispensables, selon elles, à la création d’un 5e risque autonomie.
La revalorisation des rémunérations, en particulier celle des professionnels intervenant chez les bénéficiaires, l’accroissement de leur nombre en établissement autant que dans les services à domicile pour qu’ils aient plus de temps à consacrer à chaque personne accompagnée, ou encore la clarification et la simplification de la gouvernance des établissements médico-sociaux… Voilà quelques-uns des grands prérequis posés par le GR 31, collectif qui regroupe les parties prenantes représentées au conseil de la CNSA (Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie).Après l’adoption des projets de loi organique et ordinaire sur le transfert de la dette sociale la semaine dernière par l’Assemblée nationale, et alors…
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