Dans son rapport annuel publié le 10 mars dernier, la Cour des comptes considère que la mise en œuvre des politiques sociales au niveau local manque d’un pilotage d’ensemble. Les outils d’évaluation mériteraient également d’être harmonisés.
Confier les clés des politiques sociales à chaque département tout en assurant une homogénéité entre les territoires, voilà en résumé tout l’enjeu de la décentralisation des actions mises en place au profit des personnes vulnérables. Concourant aussi bien à la protection de l’enfance, au revenu de solidarité active et aux aides aux personnes en situation de handicap et aux personnes âgées, elles mobilisent environ 10 % des dépenses consacrées à la protection sociale.Tension permanente avec les objectifs de solidarité nationale
Dans une partie de son rapport annuel rendu public le 10 mars, la Cour des comptes s’est intéressée à cette décentralisation…
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