Dans son rapport annuel, le contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) pointe les atteintes aux droits fondamentaux subies par les personnes transgenres au sein de ces structures. L’autorité appelle à adapter le cadre juridique et à mieux former les professionnels.
Comme chaque année, le rapport d’activité du contrôleur général des lieux de privation de liberté (CGLPL) dresse un état des lieux des conditions d’enfermement en France. Dans ce document de 300 pages fondé sur la visite de 124 établissements, l’autorité indépendante souligne l’impact « durable » de la pandémie dans les différentes structures et pointe un retour de la surpopulation carcérale à son « niveau d’avant la crise sanitaire ». Au 1er avril 2022, le taux d’occupation des maisons d’arrêt était ainsi de 139 %, contre environ 125 % un an plus tôt.S’appuyer sur la recherche
Parmi les recommandations formulées…
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