Le contexte :
La gare Saint-Charles à Marseille voit passer de nombreux jeunes en errance. Souvent issus de l’aide sociale à l’enfance, en rupture familiale, victimes pour certains d’homophobie, originaires pour d’autres de l’étranger, ils n’habitent pas forcément le territoire.
La gare est pour eux un lieu de répit, de jour comme de nuit. Cette errance peut se traduire par des rencontres et des actes de délinquance qui viennent aggraver leur parcours.
Selon l’Association départementale pour le développement des actions de prévention des Bouches-du-Rhône (Groupe Addap 13), la plupart des jeunes présents sont des hommes (60%). En 2023, elle
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