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Pourquoi les professionnels se battent pour l'éducation affective et sexuelle des enfants

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Notebook with drawn symbols of male and female on blue background

Malgré la loi, seuls 15 % des enfants bénéficient d'un enseignement à propos de la vie affective et sexuelle. 

Crédit photo Pixel-Shot - stock.adobe.com
Plus de vingt ans après sa promulgation, la loi Evars (Education à la vie affective, relationnelle et sexuelle) est rarement au programme des établissements scolaires. Nécessaire pour tous les enfants, elle se fait vitale pour les plus vulnérables, parmi lesquels les enfants confiés à l'aide sociale à l'enfance (ASE ) ou en situation de handicap. C'est pourquoi elle doit être appliquée, exhortent les acteurs de terrain.

Chaque fois, le mode opératoire est le même. Quelques bénévoles, des stickers roses au slogan accrocheur : « L’éducation affective et sexuelle, c’est ton droit ! » prêts à être collés sur les grilles d’un collège ou un lycée, et le tour est joué ! S’ensuivent à coup sûr des regards curieux d’élèves et d’enseignants. Tel est justement l’effet recherché par l’association Mouv’Enfants, destinée à lutter contre toutes les formes de violence faites aux enfants, qui milite pour un meilleur respect du programme d’éducation affective et sexuelle (EAS) à travers la France.

Si cette loi, qui inscrit l’obligation d’une éducati

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