Trois ans après le vote de la loi « Taquet », comment est appliqué le droit à un accompagnement jusqu’à 21 ans pour les jeunes de l’aide sociale à l'enfance (ASE) ne bénéficiant pas de ressources ou de soutien familial suffisants ? Ceux-ci sont-ils préparés à vivre de manière autonome ? La question mobilisait particulièrement le collectif Cause majeur ! qui documente chaque année les carences dans l’application de la loi. Voire, plus récemment, la Cour des comptes. Cette fois, c’est l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) qui rend un avis, assorti de recommandations.
Souhaitant confronter des constats nationaux à la diversité des pratiques ancrées dans les territoires, l’Igas a nourri son travail du contrôle de l’action de quatre départements (Eure-et-Loir, Haute-Garonne, Puy-de-Dôme et Pyrénées-Orientales). Ses i
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