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Politiques de la jeunesse : la Cour des comptes déplore l’absence de pilotage global

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« En fonction des départements, le taux de prise en charge des jeunes majeurs sortis de l'ASE varie entre 38 et 83% », annonce Pierre Moscovici, premier président de la Cour des comptes, à l'occasion de la présentation du rapport public annuel le 19 mars 2025.

Crédit photo DR
Dans le cadre de son rapport annuel, la juridiction financière a choisi de cibler les politiques en direction de la jeunesse et en particulier l’obligation de formation des 16-18 ans ou la prise en charge des jeunes majeurs de l’aide sociale à l'enfance (ASE) qui peut varier de façon significative selon les territoires.

Il existe tout un chantier des politiques de la jeunesse à ouvrir, estime la Cour des comptes dans son rapport public annuel thématique consacré, cette année, à la situation des 15-25 ans. Si les magistrats de la rue Cambon ont décidé de border leur intervention sur cette tranche d’âge, c’est « parce qu’il n’existe aucune définition précise de la jeunesse, mais aussi parce qu’elle est située entre l’âge de sortie du collège et celle de l’éligibilité au revenu de solidarité active », expliquait le premier président de la Cour, Pierre Moscovici, à l’occasion de la présentation du rapport à la presse.

40 ans de politiques jeunesse... 

En revanche, le coût pour la collectivité publique des politiques de jeunesse est bien défini

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