Il a défendu la « cohérence » de son action. Une politique – la stratégie nationale 2020-2022 – centrée autour de trois piliers : la prévention, la lutte contre les violences faites aux enfants et l’amélioration du système institutionnel. Qui s’est soldée par le vote de la loi du 7 février 2022.
Il a voulu – sans « minorer » les difficultés – mettre en garde contre les discours « univoques » et « catastrophistes » qui contribuent au déficit d'attractivité. Il a exprimé des regrets, face aux dossiers – la formation des travailleurs sociaux, le soutien au milieu ouvert entre autres – qu’il « n’a pas pu » ou « pas su » mettre en œuvre.
>>> A lire aussi : Hébergement, mentorat... Trois nouveaux décrets de la loi « Ta
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?