Après l’adoption au Sénat, le 31 janvier, d’un amendement rendant « facultative » la réforme des services d’aide à domicile, l’Union nationale de l’aide, des soins et des services à domicile (UNA), exprime son incompréhension. « On revient à la case départ », estime sa présidente Marie-Reine Tillon.
Personne, parmi les acteurs du médico-social, ne s’y attendait vraiment. Mercredi 31 janvier, lors des débats sur la proposition de loi « bien vieillir » – renommée « proposition de loi portant diverses mesures relatives au grand âge et à l'autonomie » –, le Sénat a adopté un amendement rendant la réforme des services d’aide à domicile facultative (lire les débats). Une décision incompréhensible selon…
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