L’an dernier, alors que le gouvernement planchait sur une révision à la baisse des aides destinées aux employeurs d’apprentis, la FNAPSS tirait déjà la sonnette d’alarme sur un nouveau fléchage qui favoriserait les seules structures de petite taille et les qualifications de plus bas niveaux.
Aujourd’hui, si le barème présenté par la ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet (2 000 € pour chaque embauche d’apprenti dans les structures de plus de 250 salariés, 5 000 € en deçà et 6 000 € pour un apprenti en situation de handicap) se révèle moins chiche que redouté, il demeure cependant bien inférieur aux besoins d’un secteur aux métiers en tension comme le sanitaire et social. Pour Robert Dufour, président de la fédération et directeur du CFA Ada
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?