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De la rue au virtuel, la prév’ à l’ère du numérique (4/6)

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Alban Beaufils (à gauche), éducateur spécialisé, et Jérôme Savre, chef du service de prévention spécialisée de l’association Arc-Equipes d’amitié (Arc-EA), derrière la gare de l'Est à Paris. 

Crédit photo D. P.
A Paris, l’association Arc-Equipes d’amitié a fait évoluer ses pratiques pour s’adapter aux problématiques de jeunes difficiles à « accrocher ». Loin de remplacer le terrain, Snapchat apparaît comme un outil complémentaire dans la pratique de l’éducateur.

C’est un petit théâtre où chacun joue son rôle. Les voyageurs pressent le pas, les vendeurs à la sauvette manient l’art de se dissiper, les policiers s’y substituent, sous l’œil d’habitués, consommateurs d’alcool ou de stupéfiants. Et, au milieu, des mineurs, sur lesquels le service de prévention spécialisée de l’association Arc-Equipes d’amitié (Arc-EA) porte un regard vigilant. Le parvis de la gare du Nord, à Paris, est une scène sans cesse en mouvement. Où chacun incarne son personnage, mais où les acteurs ne sont jamais vraiment les mêmes.

Contrairement aux traditionnels terrains d’intervention des éducs de rue, le quartier est avant tout une zone de transit, marquée par l’emprise des chemins de fer, peuplée de fréquentations en tous genres. Les mineurs y passent. Y reviennent. Ou pas.

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