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Contrat d’emploi pénitentiaire : un bilan en demi-teinte

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De gauche à droite, Chloé Cahuzac, adjointe au chef du service des politiques et de l’accompagnement vers l’emploi au sein de l’Agence du travail d’intérêt général et de l’insertion professionnelle (ATIGIP) du ministère de la Justice ; Lou-Isadora Anaya, directrice générale de la Lucarne d’Ariane, et Julien Fischmeister, représentant de l’Observatoire international des prisons (OIP).

Crédit photo DR
Ouvrir les prisons aux entreprises pour permettre aux détenus de se réinsérer par un emploi salarié, c’était le pari du contrat d’emploi pénitentiaire lancé en 2021 par le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti. Mais les premiers retours du terrain montrent déjà les limites du dispositif.

Près de quatre ans après sa création, le contrat d’emploi pénitentiaire affiche de premiers résultats mitigés. Certes, sur le papier, ce contrat de travail réservé aux détenus, né de la loi sur la confiance dans l’institution pénitentiaire du 22 décembre 2021 (puis complété par une ordonnance du 19 décembre 2022 qui élargit les droits sociaux de ses bénéficiaires, en leur permettant par exemple de cotiser à l’assurance vieillesse), a permis d’améliorer la situation de ces « travailleurs sous main de justice », en favorisant leur réinsertion une fois sortis.  Mais de nombreux angles morts subsistent.

45 % du Smic

Pour rappel, c’est sous le ministère de l’ancien garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti – et, dans la foulée, de l’ambition affichée par Emmanuel Macron d’abou

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