« Nos revendications sont claires. Des recrutements couplés à la baisse des objectifs chiffrés sont nécessaires », affirme Anouk Lerais, co-secrétaire générale de la CGT Ofpra, lors d’une manifestation de salariés organisée le 6 mars devant le siège de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra).
Le lendemain, au septième jour d’une grève débutée en octobre, le mouvement se poursuit. Sur 1 000 salariés, environ 200 agents (chiffres syndicats) et 130 selon l’Ofpra se mobilisent pour voir stopper les conditions de travail délétères qu’ils subissent. En cause, le renforcement d’une politique « du chiffre » qui nuit à la qualité de mission de service public de l’établissement.
>> A lire aussi : Professionnels « Jusqu�
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?