[MANAGEMENT] Bien que de façon encore très expérimentale, l’intelligence artificielle fait son chemin dans les établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux (ESMS). Plutôt perçus comme une source d’amélioration des conditions de travail et du confort des résidents, ces nouveaux outils numériques imposent cependant la mise en place de protocoles en matière d’éthique et de cybersécurité.
C’est une première pour l’ACPPA. Quelques semaines à peine après la clôture du 3e sommet international de l’IA à Paris, ce groupe associatif rhônalpin, qui gère une cinquantaine de résidences autonomie, Ehpad et autres services de soins infirmiers à domicile en régions parisienne et lyonnaise, dans le Nord ou en Occitanie a pris le virage de l’intelligence artificielle.
Depuis le mois d’avril 2025, quelque 90 chambres de sa nouvelle résidence Paul-Henri-Chapuy, sur les 180 que compte l’établissement, ont été équipées; à titre expérimental d’« oreilles augmentées » produites par la start-up brestoise OSO-AI, spécialisée dans l’Ambien
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