Dans le contexte de reprise de l’épidémie, et malgré les annonces gouvernementales, les préfets de Loire-Atlantique et du Maine-et-Loire ont délogé des occupants de bidonvilles et de squats. Sans leur proposer, dans la plupart des cas, de solutions d’hébergement, même temporaires.
C’est contraire à la circulaire du 2 juillet relative à la fin de la trêve hivernale ainsi qu’à l’affirmation, le 17 octobre dernier, d’Emmanuelle…
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