Dans les centres de rétention ou dans les structures médico-judiciaires, de nombreuses personnes n’accèdent pas aux informations les plus élémentaires par manque d’interprètes qualifiés ou de prise en compte de leur handicap. Un avis du contrôleur des lieux de privation de liberté, publié le 3 mai, rappelle que l'interprétariat est essentiel.
Lieux de privation de liberté : chacun doit avoir accès à « une langue et des termes » qu'il comprend
