Votre étude croise le regard des habitants qui vivent dans les logements soutenus par le dispositif Toits d’Abord et celui des professionnels qui portent le projet. Quel est l’intérêt de ce « double cheminement » ?
Nous avons voulu observer les deux « pôles » de ce même dispositif. D’un côté, il y a les associations qui produisent du logement en faisant face à des contraintes de budget, de bâti, de ressources humaines… et à l’autre bout de la chaîne, il y a l'habitant. Et entre les deux se trouve le logement. L’intérêt de croiser les regards est de repérer les éventuels hiatus entre la façon dont le logement est conçu et la façon dont il va pouvoir être investi.
Quels ont été les écarts que vous avez observé
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?