Emile Louis, Outreau, Patrick Poivre d’Arvor, Tariq Ramadan, French Bukkake, Joël Le Scouarnec ou – peut-être le plus emblématique – Gisèle Pelicot… Ces noms auraient dû faire date. Autant de procès qui auraient dû être des tournants, des marqueurs dans la reconnaissance des violences sexuelles. En 2025, la justice est-elle vraiment devenue ce maillon central dont les victimes ont besoin pour être reconnues, protégées, réparées ?
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« Chaque année, on nous dit “plus jamais ça
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