Méconnue il y a quelques années, l’expression « précarité menstruelle » a pour la première fois été employée par un président de la République en interview. Une mention symbolique qui témoigne du chemin parcouru tant par les acteurs politiques que par les structures associatives. Mais si les actions des professionnels se multiplient sur le sujet, la route reste encore longue pour accompagner au mieux les nombreuses femmes qui manquent chaque mois de protections périodiques.
« Débrouille », « stress », « gêne », « honte », « inconfort »… Autant de mots qui servent à qualifier le moment des règles pour les femmes en situation de précarité. En France, elles sont 1,7 million à manquer de protections hygiéniques chaque mois, selon une étude Ifop (1) réalisée pour Dons solidaires. Et près de 40 % des femmes…
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