Droit d’asile, protection de l’enfance, droit au logement… Selon les professionnels de l'insertion et de l'aide sociale à l'enfance, de nombreux articles du texte de loi sur l’immigration adopté par le Parlement le 19 décembre actent une régression des droits des personnes étrangères. Jugées scandaleuses et hors-sol, les décisions s’avèrent contraires au principe constitutionnel d’égalité.
« Les droits fondamentaux bafoués », « la loi de la honte », « des reculs préoccupants pour les droits des personnes », « des barrières supplémentaires à l’accueil et à l’accompagnement »… Les réactions pleuvent au lendemain de l’adoption par le Parlement du projet de loi sur l’immigration. Les associations de terrain condamnent fermement les conséquences des décisions législatives sur les publics qu’elles accompagnent.La protection internationale…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?