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L’enquête qui révèle les pratiques illégales des CCAS franciliens

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Ile de France : les pratiques illégales des CCAS

En Île-de-France, les personnes sans domicile fixe sont confrontées aux pratiques restrictives des CCAS qui entravent l'accès effectif à la domiciliation, relève le collectif Domiciliation Île-de-France,

Crédit photo Magali Cohen / Hans Lucas via AFP
Selon le collectif Domiciliation Ile-de-France, la moitié des centres communaux d’action sociale (CCAS) franciliens refuse de domicilier des personnes vivant sur leur commune en bidonville, en squat et/ou à la rue.

« Malgré mon suivi médical dans un centre de santé de la ville, le CCAS a refusé ma domiciliation après deux mois d’attente. Pendant toute cette période, je n’ai pas pu demander l’aide médicale de l’Etat à l’assurance maladie alors que je remplissais les autres conditions depuis plusieurs mois. »

Le témoignage d'Ibrahim, occupant d'un squat en Seine-Saint-Denis, est l’un de ceux qui jalonnent les pages du rapport que publie le collectif Domiciliation Ile-de-France.

>>> A lire aussi : Nuit de la Solidarité : nouveau record du nombre de sans-abris

Regroupant la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS), Médecins du monde, Romeurope, Solidarités Jean Merlin, le Secours catholique et Dom’Asile, il a mené une enquête, en 2024, auprès de 96 centres communaux d’action sociale (CCAS) d’Île-de-France.

Son travail met en évidence les obstacles que rencontrent les personnes sans domicile fixe dans l’ac

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