Les corps ondulent côte à côte sans se toucher, sans même s’effleurer. Reliés paume à paume par une baguette de bois, ils se rapprochent, s’esquivent, s’éloignent et se retrouvent en une lente farandole très chorégraphiée. Sous la toile tendue du chapiteau appartenant à l’association circassienne Le Temps des cerises, Inès vient de sortir de scène, les joues rosies par l’énergie de ce ballet à mi-chemin entre la danse, les arts martiaux et le mime. Un moment de lâcher-prise expérimenté quelques temps plus tôt au cours de la médiation animée par une artiste, dans les murs de l’IRTS de Champagne-Ardenne où la jeune fille achève…
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