« Comment ne pas s’interroger sur l’actualisation d’une concertation nationale sur la fin de vie en vue de légaliser l’euthanasie et le suicide assisté, alors que la loi “grand âge et autonomie”, promise par trois présidents de la République, vient d’être définitivement enterrée ? Coup politique, urgence sociétale ? Beaucoup de concitoyens y voient un fort mauvais signal. Même si le “bien vieillir” est annoncé comme un axe prioritaire du travail du Conseil national de la refondation (CNR), les professionnels du grand âge, les associations et les “vieux” eux-mêmes sont inquiets. Les enjeux de l’avancée en âge sont cruciaux. Ils exigent un débat…
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