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Ludovic Jamet

Adjoint au directeur des politiques d’accompagnement pour l’institut départemental de l’enfance, de la famille et du handicap pour l’insertion en Seine-Maritime (Idefhi).

Crédit photo Ludovic Jamet
Une étude menée pour l’Observatoire national de la protection de l’enfance (ONPE) a conduit Ludovic Jamet à s’interroger sur les changements de lieux d’accueil pour les enfants placés. Une situation qui engendre des dynamiques morbides plutôt que résilientes.
Actualités sociales hebdomadaires - Y a-t-il des périodes où les enfants placés se sentent plus insécurisés ?

Ludovic Jamet : J’en compte au moins deux. La première concerne les enfants accueillis précocement, entre 4 et 8 ans, pour lesquels nous rencontrons des difficultés à stabiliser un lieu d’accueil. Ils ont plusieurs domiciles et passent, par exemple, de services de placement familial à une maison d’enfants à caractère sociale (Mecs), pour retourner à un autre type de placement. D’autres connaîtront trois ou quatre assistantes familiales. Le premier accueil est pourtant déterminant pour la réussite d’une protection. Quel que soit leur âge, il est essentiel de les informer sur leur situation et l’organisation de leur quotidien…
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