Dans sa chambre meublée d’un lit simple, d’un bureau et de quelques étagères, Axelle a tapissé les murs de posters de chevaux, sa passion. L’espace est douillet et impeccable, à l’instar de la salle de bains privative attenante. Voilà deux mois que cette trentenaire, porteuse d’une trisomie 21, a pris possession de l’une des dix chambres d’une immense maison située dans le quartier nord de Nantes : « J’en avais marre d’habiter chez mes parents. Je voulais vivre avec mes copains et être autonome. » Comme elle, Emma, Pauline, Valentin et Maxime, tous en situation de handicap intellectuel léger, jouissent d’une chambre au même étage. Au second, cinq chambres sont occupées par de jeunes professionnels…
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