La crise est, par nature, imprévisible. Il est illusoire de penser tout prévoir, tout maîtriser. En témoigne la pandémie de Covid-19, qui a surpris tout le monde par ses effets en cascade et par sa durée. Mais il est aussi dangereux de ne pas anticiper. « Il faut se préparer au pire », écrit Cécile Weber, dans son ouvrage Plan de continuité des activités et gestion de crise(1), qui souligne le contexte particulièrement « crisogène » et « évolutif » dans lequel nous vivons. « Au-delà des risques intrinsèques à l’organisme, on constate à la fois l’augmentation des risques traditionnels, du fait de bouleversements divers (climatiques, sociaux…)…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?