Pourquoi avez-vous choisi de vous intéresser à la justice des mineurs entre 1950 et 1960 ?
Cette période s’avère particulièrement pertinente parce qu’elle suit la mise en place de l’ordonnance du 2 février 1945, consacrant la nouvelle organisation de la justice des mineurs en France, plus bienveillante qu’auparavant. La philosophie est de connaître les enfants avant de les juger, d’éduquer avant de réprimer. Pour ce faire, des centres d’observation ont été créés un peu partout, de façon que chaque enfant ait un traitement individuel approprié. Nous sommes donc dans un contexte de grande innovation législative,…
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