Les enfants élevés dans des maisons plus chères ont moins de problèmes de santé mentale que les autres et sont donc moins susceptibles de souffrir d’anxiété, de mauvaise humeur, tout en étant d’avantage en capacité de s’entendre avec leurs pairs, affirment des chercheurs de l’University College de Londres (UCL). Si le lien entre la richesse globale et le bien-être mental est établi depuis longtemps, les résultats de l’étude mettent en évidence le rôle clé joué par la valeur pécuniaire du foyer familial dans le développement d’un enfant. Pour parvenir à ce résultat, les docteurs Ludovica Gambaro et Vanessa Moulton, du Centre for Longitudinal Studies de l’UCL, ont examiné la gamme d’indicateurs de richesse des familles de 8 500 enfants.
Six familles sur dix étaient propriétaires de leur logement,…
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