Selon la cinquième édition de l’Observatoire national de la politique de la ville (ONPV), les résidents des quartiers prioritaires estiment avoir un cadre de vie « dégradé ». Ils déclarent vivre dans des logements en mauvais état, subir des comportements discriminants et devoir faire face à des conditions de travail précaires.
Depuis 2015, l’Observatoire national de la politique de la ville (ONPV) tente de « dresser un panorama global » de la situation dans les quartiers prioritaires. Sa dernière édition, consacrée au « bien-vivre » des habitants, met en lumière un cadre de vie « dégradé ».Ainsi, 36 % des résidents rapportent que les parties communes ou les équipements à l’intérieur de leur immeuble sont en mauvais état (1) (ascenseurs mal entretenus, boîtes aux lettres endommagées, tags…). Ce chiffre descend à 16 % lorsqu’on…
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