Les centres éducatifs fermés (CEF) représentent « une véritable alternative » à l’incarcération pour les adolescents confrontés à de grandes difficultés, soutient la Cnape qui regrette « l’hostilité médiatique et politique » envers ces dispositifs.
A la suite d’une audition par la Cour des comptes, la Convention nationale des associations de protection de l’enfant (Cnape) défend dans un communiqué de presse la pertinence des centres éducatifs fermés (CEF). « L’action éducative proposée par les CEF ne se réduit pas à la prévention de la récidive, mais vise une réinsertion sociale et professionnelle au long terme. Les associations, qui gèrent aujourd’hui plus de deux tiers des CEF existants, portent des projets éducatifs construits, intensifs, et créatifs », rapporte la fédération qui regrette dans le même temps « l’hostilité politique et médiatique » envers ces centres.Impact du CJPM…
La suite est réservée aux abonnés
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?