Recevoir la newsletter

Regroupement familial : le droit danois sanctionné (CEDH)

Article réservé aux abonnés

Decision in Kalinka case

La Cour européenne des droits de l’Homme.

Crédit photo Violetta Kuhn / DPA Picture-Alliance via AFP
Imposer un délai de trois ans sans procéder à une appréciation au cas par cas est contraire à la Convention européenne des droits de l’Homme, juge la CEDH dans un arrêt du 9 juillet.
Dans un arrêt rendu le 9 juillet dernier, la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) précise sa jurisprudence en matière de regroupement familial. La juridiction du Conseil de l’Europe juge que le fait, pour un Etat, d’imposer un délai de trois ans aux réfugiés sous protection temporaire avant de pouvoir exercer leur droit au regroupement familial, et ce, sans procéder à une appréciation au cas par cas, est contraire à la Convention.

En l’espèce, un Syrien s’enfuit de son pays et demande l’asile au Danemark, laissant son épouse derrière lui. Le service de l’immigration lui accorde le bénéfice de la « protection temporaire », spécifique au droit danois. Sa demande d’octroi du statut de protection lui est refusée car il n’a pas…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Société

Veille juridique

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur