Saisi par l’association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers (ANAFÉ), le juge des référés du Conseil d’Etat estime que les passagers ne subissent aucune atteinte grave et manifestement illégale à leurs libertés fondamentales.
Débarquées à Toulon en zone temporaire d’attente, les personnes secourues par le navire Ocean Viking seraient victimes de plusieurs violations de leurs droits, selon l’Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers (ANAFÉ), qui alertait sur leurs cas le 15 novembre dernier. L’organisation a donc saisi donc le Conseil d’Etat pour demander, en urgence, l’annulation de la création de cette zone d’attente. Dans une décision rendue samedi 19 novembre, la Haute juridiction administrative rejette l’ensemble des demandes de l’association.Une zone d'attente située sur une base militaire
Après plusieurs semaines d’errements au large des côtes italiennes, le navire Ocean Viking, affrété…
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