Recevoir la newsletter

Un état de santé dégradé pour les victimes de violences

Article réservé aux abonnés

Quels enseignements peut-on tirer des bilans infirmiers réalisés auprès des populations migrantes ? Comment mieux recueillir leur parole concernant les violences ? Ces questions ont été abordées à travers une étude parue le 25 juin dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire.
Le lien entre les violences subies lors du parcours migratoire et l’état de santé des exilés a de nouveau été démontré dans une étude parue le 25 juin dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire. Elle se fonde sur des bilans infirmiers réalisés en Île-de-France auprès de populations migrantes entre octobre 2015 et juillet 2018. Ces bilans ont été effectués par des équipes mobiles dans des centres d’hébergement d’urgence accueillant des migrants, puis au Centre de premier accueil (CPA), au Centre d’hébergement d’urgence pour femmes et familles migrantes d’Ivry-sur-Seine (CHUM d’Ivry), et dans deux Centres d’accueil et d’examen des situations…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Société

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur