Les associations dans le collimateur des pouvoirs publics ? Début 2023, c’est la Ligue des droits de l’Homme (LDH) qui faisait les frais du ministre de l’Intérieur après les événements de Sainte-Soline, puis de la Première ministre, dénonçant des « ambiguïtés face à l’islamisme radical ».
A l’automne, La Cimade, le Mrap et RESF étaient montrés du doigt après le meurtre du professeur Dominique Bernard à Arras. Rebelotte le 12 février dernier : la ministre de l'Egalité entre les femmes et les hommes, Aurore Bergé, menaçait de couper les subventions aux associations féministes qui auraient tenu des « propos ambigus » sur l’attaque du Hamas du 7 octobre.
Face à l’accumulation des déclarations, le Mouvement associatif, qui rassemble près de 600 000 membres, appelle à de nouveaux rapports entre l'Etat et l
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