Menée entre 2018 et 2023 et portée par un partenariat entre le tribunal judiciaire de Bobigny, l’hôpital Robert-Ballanger d’Aulnay-sous-Bois et les services de l’aide sociale à l’enfance (ASE) du département, l’étude analyse 27 dossiers de féminicides, de tentatives de féminicides ou de suicides forcés. Un ensemble de faits commis dans le cadre de violences conjugales par des partenaires ou ex-partenaires des victimes.
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En termes de caractéristiques, la majorité (17) sont des meurtres aggravés tels que définis par la justice, c’est-à-dire des homicides volontaires et non prémédités. Les actes ont majoritairement lieu au domicile conjugal ou au domicile de la victime lorsque le couple est séparé. « L’agresseur a des conduites addictive
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