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Féminicides : comment mieux prévenir les passages à l’acte ?

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Une grande majorité d'enfants assiste au meurtre de leur mère.

Crédit photo Xose Bouzas / Hans Lucas / AFP
Au lendemain de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le département de Seine-Saint-Denis publie une étude permettant de comprendre le contexte de ces meurtres ciblés et détaillant les mesures de protection, comme la prise en charge des enfants témoins.

Menée entre 2018 et 2023 et portée par un partenariat entre le tribunal judiciaire de Bobigny, l’hôpital Robert-Ballanger d’Aulnay-sous-Bois et les services de l’aide sociale à l’enfance (ASE) du département, l’étude analyse 27 dossiers de féminicides, de tentatives de féminicides ou de suicides forcés. Un ensemble de faits commis dans le cadre de violences conjugales par des partenaires ou ex-partenaires des victimes.

A lire aussi : L’assistante sociale du travail face aux risques psychosociaux

En termes de caractéristiques, la majorité (17) sont des meurtres aggravés tels que définis par la justice, c’est-à-dire des homicides volontaires et non prémédités. Les actes ont majoritairement lieu au domicile conjugal ou au domicile de la victime lorsque le couple est séparé. « L’agresseur a des conduites addictive

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