Figure de la protection de l’enfance, Jean-Pierre Rosenczveig a présidé le tribunal pour enfants de Bobigny de 1992 à 2014. Il préside aujourd’hui, entre autres fonctions, l’association Espoir-CFDJ.
ASH : Comment réagissez-vous à cette annonce ?
Jean-Pierre Rosenczveig : Supprimer 500 postes, ce n’est pas expédier les affaires courantes [comme devrait le faire un gouvernement démissionnaire, ndlr]. C’est une option politique, dont les raisons m’échappent. Une décision surprenante, qui tombe comme un couperet, en plein été. Et qui est loin d’être neutre : 500 contractuels sur 8 000 à 9 000 employés, cela représente plus de 5 % des effectifs.
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Sur le fond, en l’état, la PJJ avait-elle les moyens d’a
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