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Grève de la PJJ : "1 500 jeunes se retrouveront privés d’éducateurs dès le 1er septembre"

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Une cinquantaine de manifestants se sont réunis, le 29 août, pour protester contre les suppressions de postes. 

Deuxième journée de grève en moins de quinze jours à la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ). A l’appel de l’intersyndicale, les agents étaient invités à manifester partout en France pour protester contre le non-renouvellement de centaines de postes de contractuels. A Paris, les manifestants avaient reçu le soutien d’avocats, de magistrats et d’élus politiques de gauche.

Ils ne sont pas venus pour une audience, mais pour une manif. Le 29 août, sous la chaleur de cette fin d’été, ils étaient une cinquantaine à s’être rassemblés sur le parvis du tribunal judiciaire de Paris, porte de Clichy.

Une quinzaine de jours après une première manifestation le 14 août à l’appel de quatre organisations syndicales – SNPES-PJJ FSU, CGT PJJ-Justice, Interco PJJ-CFDT et Unsa SPJJ –, éducateurs, syndicalistes et contractuels de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) se sont donné rendez-vous. L'objectif : protester contre le gel du renouvellement des contrats de près de 500 professionnels à la prochaine rentrée décidée par la direction nationale de la PJJ (DPJ

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