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MNA : Un lieu de répit pour les jeunes exilés en attente 3/4

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Outre des cours de boxe, le lieu de répit dispose d'une cuisine, d'un espace de repos et d'une salle de jeux.

Crédit photo Edouard Hannoteaux
[ENQUETE] À Marseille, environ 200 MNA non reconnus vivent à la rue ou en habitat précaire. Dans l’attente d’un recours auprès du juge des enfants, ils ne sont suivis ni par les services du département, ni par les dispositifs d’hébergement pour adultes. Plusieurs structures sociales se sont unies pour créer le GR1, un lieu ressource où ils peuvent se rendre quatre jours par semaine.

Le grand portail coloré contraste avec le blanc des constructions qui l’entourent et amène un peu de convivialité dans ce quartier résidentiel du sud de Marseille. A l’heure du déjeuner, en ce vendredi ensoleillé de septembre, plusieurs silhouettes le traversent. Et la vaste cour vers laquelle il mène voit s’activer une trentaine de personnes. « Aujourd’hui il y a école, donc ce sont les jeunes qui ne sont pas scolarisés qui viennent. Mais pendant les vacances d’été, on pouvait recevoir jusqu’à 60 personnes par jour », observe Isabelle(1), régisseuse sociale au GR1.

Le nom de ce bâtiment se prononce « Grin ». Il fait référence au terme utilisé dans certains pays d’Afrique de

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