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Les enfants de l’ASE doivent-ils être assistés d’un avocat? 1/2

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Arnaud de Saint Rémy est avocat spécialisé en protection de l'enfance.

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[C'EST EN DEBAT] Depuis 2022, la loi « Taquet » prévoit la présence d’un avocat auprès des mineurs quand leur intérêt l’exige et s’ils sont capables de discernement. Si tous s’accordent sur la nécessité de cet accompagnement dans certaines situations, son caractère systématique fait en revanche débat. "Seul l’avocat est tenu d’agir exclusivement en fonction des intérêts de l’enfant", estime Arnaud de Saint Rémy, avocat spécialisé en protection de l'enfance.

Rares sont les professionnels du droit ou les associations d’usagers qui s’opposent à l’intervention systématique de l’avocat en assistance éducative judiciaire. Plusieurs élus impliqués en protection de l’enfance, de Perrine Goulet à Isabelle Santiago pour ne citer qu’elles, soutiennent même fermement cette mesure. Déjà, une quinzaine de juridictions ont commencé à mettre en place une expérimentation en ce sens. Parce que plutôt que de dire qu’un dispositif va coûter cher, mieux vaut le vérif

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Protection de l'enfance

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