D’ordinaire ce sont ses jambes qui amortissent les chutes. Mais cette fois, exceptionnellement, elle est tombée la tête la première. Lorsqu’elle ouvre la porte de sa maison à Nantes (Loire-Atlantique), Julie arbore deux pansements sur le nez. « Je tombe au moins une fois par mois. Petite, on me surnommait madame Gaston parce que j’étais toujours dans la lune », plaisante-t-elle comme si rien n’était plus naturel. Fidèle à elle-même, celle qui a troqué son patronyme pour celui de Chaperon vert ne laisse jamais filer une occasion de plaisanter. Y compris lorsque vient le moment d’aborder l’un des sujets les plus graves. Tel l’inceste, auquel elle consacre sa dernière création.
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