« Nous attendions beaucoup plus qu’un secrétaire d’Etat, pour afficher une ambition politique forte, nous voulions un ministère de l’Enfance », déclare sur Twitter Arnaud Gallais, militant des droits de l’enfant et directeur général de l’association Olga Spitzer, résumant l’état d’esprit général des acteurs du secteur.
« Je regrette que l’enfance, qui devait être la priorité d’Emmanuel Macron, n’ait pas eu un ministère de plein exercice », tweete également Lyes Louffok, militant et membre du Conseil National de la Protection de l’Enfance.
L’annonce du nouveau gouvernement du second quinquennat d’Emmanuel Macron, suscitait de grands espoirs pour les professionnels de la protection de l’enfance, déclarée « seconde grande cause du quinquennat » par le
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