De nombreux professionnels de l’enfance ont dénoncé des décisions hors sol après l’annonce des 22 mesures pour protéger les mineurs par Elisabeth Borne. D’autres étaient surtout dubitatifs face à ce catalogue d’intentions assez éloignés du Plan Marshall que des acteurs du secteur appelaient de leurs vœux.
Un point a surtout cristallisé les mécontentements : le remplacement du « pécule » par une aide de 1 500 € à la majorité des jeunes pris en charge par l'aide sociale à l'enfance (ASE). Une mesure « Inacceptable » selon l’ancienne ministre de la Famille, Laurence Rossignol ou « un niveau de c
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?