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Anne Raynaud : "Pour faire évoluer le service de la petite enfance, nous pourrions valoriser la garde parentale"

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Anne Raynaud

Anne Raynaud : "Je pense qu’un pan d'aménagement valorisant le congé parental aurait vraiment du sens face à tous ces enjeux croisés du développement de l'enfant, de la fonction parentale et de la formation des professionnels."

Crédit photo Pascal Rousse
Le 12 décembre 2024, la Cour des comptes publiait son rapport sur l’accueil de la petite enfance, afin d’améliorer la politique en la matière. Anne Raynaud, psychiatre et fondatrice de l’Institut de la parentalité, revient sur les principaux enjeux soulevés par celui-ci.

La politique d’accueil du jeune enfant regroupe toutes les actions permettant le développement des modes de garde des petits de moins de 3 ans. Pointant du doigt les problèmes principaux de ce système en France, la Cour des comptes a formulé neuf recommandations qui, selon elle, permettraient de développer une offre adaptée aux besoins des enfants.

ASH : Que nous apprend le rapport de la Cour des comptes ?

Anne Raynaud : Le sujet des modes d'accueil dans la petite enfance a principalement été abordé sur son versant économique. Mais il existe aussi des questionnements sur le suivi des congés « parentalité », et sur celui de l'ouverture des places de crèche dans le cadre de la loi service public de la petite enfance, qui doit mettre en œuvre de nouvelles places à partir de janvier 2025. 

>>> A lire aussi Petite enfance : les 5 pro

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