Chaque jour, des professionnels du social et du médico-social frontaliers se rendent en Suisse ou au Luxembourg pour exercer leur métier. Qu’est-ce qui les décide à franchir le pas ? A quelles difficultés font-ils face ? Qu’impliquent ces départs ? Décryptage.
« Je n’aurais jamais imaginé travailler au Luxembourg, expose Jean-Paul Schintu, 61 ans, basé à Metz (Moselle). Pourtant, j’en ai eu plusieurs fois l’opportunité au cours de ma carrière, mais j’ai toujours voulu croire que c’était possible en France. » Après avoir vécu trois licenciements économiques en dix ans, cet ancien chef de service éducatif a fini par changer d’avis et devenir éducateur de jeunes enfants au Grand-Duché. Comme lui, de nombreux professionnels du social et du médico-social passent quotidiennement la frontière pour exercer leur métier dans des structures suisses…
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