« Je n’aurais jamais imaginé travailler au Luxembourg, expose Jean-Paul Schintu, 61 ans, basé à Metz (Moselle). Pourtant, j’en ai eu plusieurs fois l’opportunité au cours de ma carrière, mais j’ai toujours voulu croire que c’était possible en France. » Après avoir vécu trois licenciements économiques en dix ans, cet ancien chef de service éducatif a fini par changer d’avis et devenir éducateur de jeunes enfants au Grand-Duché. Comme lui, de nombreux professionnels du social et du médico-social passent quotidiennement la frontière pour exercer leur métier dans des structures suisses ou luxembourgeoises.
En 2015, parmi les 166 800 frontaliers du Grand Est, 11 300 travaillaient dans le champ de la santé humain
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