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Travailleur social, métier à risques (SPT 2/6)

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Menaces verbales, bagarres, violences graves, mort ou suicide d’un bénéficiaire… Pour ressentir un SPT, peu importe l’intensité de l’événement. 

Crédit photo Mélanie Kochert
A force d’être confrontés à des situations extrêmes et à des publics en grande difficulté, les professionnels développent des troubles de stress post-traumatique semblables à ceux des personnes qu’ils accompagnent. Longtemps taboues, les souffrances psychiques qu’ils endurent commencent à faire surface dans le secteur du travail social. A bon escient, puisque le soutien de l’institution s’avère indispensable pour prévenir ou atténuer leur état.
 
 

Alexandrine Laizeau, 25 ans, est campée devant la télévision. Comme tant d’autres soirs, une publicité s’affiche à l’écran. Comme tant d’autres soirs, la jeune femme détourne subitement le regard. Un geste réflexe, acmé du syndrome d’évitement dont elle souffre depuis six mois. Mais à priori incompréhensible, devant des images aussi banales qu’insipides. A ceci près que la scène se joue au travail. Cet univers professionnel…
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