Comment inclure dans un collectif de travail des professionnels exerçant « hors les murs » de leurs établissements et favoriser un sentiment d’appartenance à des équipes dont ils sont éloignés ? Dans le domaine de l’aide à domicile en particulier, la préoccupation s’avère prégnante. « Cette question représente un enjeu fort de qualité de vie au travail, souligne Amélie Gillette, responsable du développement des ressources humaines au réseau de l’UNA (Union nationale de l’aide, des soins et des services aux domiciles), et doit être comptabilisée parmi les risques professionnels. Le fort absentéisme, les problèmes d’attractivité du métier, les enjeux de fidélisation doivent inciter à l’action les structures et les financeurs. » Les rapports s’enchaînent, préconisant une remise à plat urgente des statut
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